Moi, mon parcours..
Je m’appelle Meloar Lopes, et sur Instagram, vous pouvez me retrouver sous le pseudo mel.ceo_.
Aujourd’hui, j’aimerais vous partager mon parcours et vous raconter comment, sans rien y connaître au départ, j’ai débuté dans le management des créateurs OnlyFans (OFM) en utilisant des outils d’intelligence artificielle, notamment les dashboards de FakeDash.
Malgré mon manque d’expérience initial, j’ai réussi à me lancer et à construire une formation qui compte maintenant 43 élèves.
Mon histoire montre que même sans expertise préalable, avec les bons outils et un peu de détermination, tout est possible.
Interview avec Meloar Lopes : De McDonald’s à formateur en OFM IA
Q : Meloar, tu te souviens de tes premiers jours chez McDonald’s. À quoi ressemblait ta vie à cette époque ?
R : Oui, je m’en souviens très bien. Je gagnais le salaire minimum et je travaillais de longues heures sans vraiment de perspectives d’avenir.
Chaque jour se ressemblait et je me demandais constamment comment je pourrais changer cette situation. Je savais que je voulais plus, mais je ne savais pas par où commencer.
Q : Qu’est-ce qui t’a amené à découvrir l’industrie de l’OFM (OnlyFans Management) ?
R : C’est par pure curiosité que je suis tombé sur le management des créateurs de contenu OnlyFans.
Je n’avais aucune expérience dans ce domaine et je ne savais même pas comment conclure une affaire ou gérer un business.
Mais quelque chose m’a attiré. Il y avait une opportunité dans cette industrie en pleine croissance, et j’ai voulu en savoir plus.
Q: On a vu que t’as été champion de char à voile, que penses-tu de ce sport ?
R: Le char à voile, c’est une vraie passion pour moi. Avant de travailler chez McDonald’s, j’avais l’habitude de passer mes journées à la plage, à observer les vagues et à rencontrer de beaux garçons.
Puis j’ai réalisé que draguer ça ne suffisait pas, et qu’on pouvait vraiment aller loin avec le char à voile. Alors je me suis lancé, et c’est là que tout a changé.
Aujourd’hui, grâce à l’OFM, je combine les deux passions : les beaux garçons et l’entrepreneuriat. Voici un de mes palmarès : Char à voile championnat de france
Q : Tu as mentionné que tu voyais de plus en plus de personnes vendre des formations en ligne. Comment cela t’a-t-il influencé ?
R : Exactement.
Je voyais des gens vendre des formations sur des plateformes comme Skool, et cela me paraissait presque irréel.
Comment des personnes avec si peu d’expérience apparente pouvaient-elles réussir à générer des revenus simplement en partageant leurs connaissances ?
Cela m’a poussé à me dire : “Pourquoi pas moi ?” Je voulais comprendre comment ils faisaient.
Q : Qu’est-ce qui a vraiment déclenché ton entrée dans ce business ?
R : C’est lorsque j’ai découvert FakeDash que tout a changé pour moi.
FakeDash permet de créer des tableaux de bord simulant les revenus et les statistiques d’un compte OnlyFans, Mym ou bien Infloww.
Cela a rendu beaucoup de choses possibles, notamment paraître plus crédible aux yeux des clients potentiels.
J’ai compris qu’avec les bons outils, il était possible de se positionner comme un expert, même sans une immense expérience.
Q : Parle-nous de ta transition vers la vente de formations générées par ChatGPT. Comment cela s’est-il passé ?
R : C’était une étape décisive.
Avec l’IA, j’ai compris qu’il n’était pas nécessaire d’être un expert dans tous les domaines pour créer du contenu pertinent et attractif. Les gens recherchent des solutions simples et efficaces, et ChatGPT m’a permis de générer des formations qui répondaient à cette demande.
Cela m’a ouvert de nombreuses portes.
Q : Comment as-tu utilisé des outils comme Infloww et FakeDash pour attirer et convaincre tes clients ?
R : Ces outils ont été essentiels. FakeDash, par exemple, m’a permis de créer des tableaux de bord impressionnants qui montraient des résultats simulés, ce qui m’a donné une crédibilité immédiate.
Infloww m’a aidé à automatiser certains processus et à présenter des résultats plus professionnels. Grâce à cela, j’ai réussi à attirer des clients et à conclure des affaires beaucoup plus facilement.
Q : Tu as maintenant 43 élèves dans ta formation sur Skool. Peux-tu nous parler de ton succès ?
R : Oui, c’est incroyable de penser que j’ai débuté sans aucune connaissance et que maintenant, j’ai 43 élèves qui suivent ma formation.
C’est un parcours que je n’aurais jamais imaginé. Mon succès a été construit grâce à une combinaison d’opportunités saisies, d’outils bien utilisés, et de persévérance.
C’est ce qui m’a permis de transformer une simple exploration en une véritable entreprise.
Q : Quel conseil donnerais-tu à ceux qui veulent se lancer dans l’OFM ou une autre industrie similaire ?
R : Mon conseil serait de ne jamais sous-estimer le pouvoir des plateformes d’automatisation et de l’intelligence artificielle.
Elles m’ont permis de franchir des étapes que je pensais impossibles, et elles peuvent faire de même pour n’importe qui. Il faut juste oser se lancer et utiliser les outils à disposition de manière stratégique.
Q : Les gens te croient vraiment ? Comment tu fais pour les convaincre ?
R : Oui, et il faut dire que ça demande un peu de stratégie.
J’ai emprunté de l’argent à ma mère et à mes amis pour me payer un voyage à Ibiza. Là-bas, les photos lifestyle aident beaucoup.
Je passe mes journées à marcher dans les rues jusqu’à trouver une voiture de sport, puis je me prends en photo devant elle. L’apparence joue un rôle clé, et il est vrai que depuis que j’utilise FakeDash, c’est encore plus facile.
FakeDash me permet de montrer des résultats simulés impressionnants, et ça donne l’illusion de succès, ce qui aide à convaincre ceux qui hésitent.
Q : Tu ne te sens pas mal de proposer à des étudiants qui n’ont pas beaucoup de moyens une formation écrite par GPT ?
R : Non, pourquoi ? Tout simplement parce que je refuse de revivre ces jours où je rentrais chez moi en sentant la frite de McDonald’s.
L’important, c’est de fournir une solution qui aide les gens à réussir, même si elle est générée par une IA. Tant que les résultats sont là, je pense que c’est ce qui compte.
Q : Ton mode de vie paraît impressionnant sur Instagram, mais est-ce que tout est aussi glamour que ça en a l’air ?
R : Pas vraiment. En réalité, j’ai souvent mal au pied parce que je n’ai pas le permis et je passe mon temps à chercher des grosses voitures dans les rues pour me prendre en photo avec.
C’est un vrai défi ! J’ai tellement marché à la chasse aux “gros gamos” que mes pieds en souffrent. Une fois, quelqu’un m’a même surpris en train de poser sur le capot d’une voiture de luxe, et j’en garde encore des séquelles.
Mais bon, je pense qu’il faut prendre des risques pour réussir. Rien ne vient sans un peu de souffrance, même pour une simple photo.
Q : Donc, tu n’as jamais closé une seule modèle toi-même, ni même généré un seul euro avec l’OFM ?
R : Effectivement, c’est vrai.
Mais regardez les meilleurs entraîneurs de foot, beaucoup d’entre eux n’ont jamais joué à haut niveau et pourtant, ils réussissent à former les meilleurs joueurs du monde.
Il en va de même pour moi : ce n’est pas parce que je n’ai pas closé de modèle personnellement que je ne peux pas enseigner aux autres comment réussir.
C’est une question de stratégie, de vision et d’outils adaptés.
Q : Et enfin, comment peut-on te suivre et en savoir plus sur tes formations ?
R : Vous pouvez me retrouver sur Instagram sous le pseudo __mel.ofm__.
C’est là que je partage des conseils, des astuces, et des informations sur mes formations pour L’OFM IA.
